AKIZUKI KENJI

Une équipe de 4 personnes qui partent d'un rêve pour arriver au sommet !


 

Après des années de travail acharné dans ses champs de thé, Ajizuki san avait pris sa retraite. C'est alors qu'une nouvelle initiative visant à sauver la technique du kamairicha (thé vert rôti à la poêle) l'a motivé à reprendre le chemin des champs et de s'associer à trois autres amis pour créer l'Association de l'industrie du thé Kamairicha du Sud d'Ureshino, afin de produire un kamairicha de qualité supérieure à Ureshino, préfecture de Saga.

Le kamairicha est une spécialité de thé de Saga, mais le nombre d'usines est passé de 250 dans les années 1950 à seulement 10 en 1998. Cette baisse est due à l'augmentation rapide du changement de méthode de cuisson à la vapeur, grâce à l'innovation technologique, mais aussi au fait que la technique requise est très difficile à maîtriser, ce qui a entraîné une diminution du nombre de producteurs de thé qualifiés.

Devant la lente disparition des usines de Kamairicha, Akizuki san et plusieurs autres producteurs, tous passionnés par la fabrication du Kamairicha, se sont rassemblés pour que le "Kamairicha" fabriqué à Saga ne s'éteigne pas. En 2001, ils ont lancé l'"Ureshino Southern Kamairicha Association".

En 2003, grâce au soutien des pouvoirs publics et de l'industrie, notamment des fabricants de machines, une nouvelle ligne de production a été créée afin d'améliorer et de stabiliser la qualité du thé, qui était l'un des principaux problèmes dans le passé. Leurs efforts et leurs compétences exceptionnelles ont été rapidement reconnus : en 2006, l'association a remporté le premier prix au salon national du thé. Depuis, elle a remporté huit autres prix lors de concours nationaux. En 2016, l'association a obtenu la certification GAP et s'est concentrée sur la gestion de l'hygiène et la gestion de la main-d'œuvre.

Les principes de l'association sont "la production sûre et sécurisée de Kamairicha" et "la création d'un environnement où les gens peuvent travailler confortablement". En 2019 et 2020, l'association a été récompensée par le grade 6 du prix du ministre de l'agriculture, des forêts et de la pêche.

 
 
 
 

PRIX

D'innombrables prix récompensent des années de travail acharné


2006 - 1er prix du Salon national du thé (Prix du président de l'Association centrale de l'industrie du thé du Japon)
2008 - Premier prix du salon national du thé (prix du président de l'association coopérative nationale du commerce et de l'industrie du thé)
2009 - 1er prix du salon du thé de Kyushu (prix du ministre de l'agriculture, des forêts et de la pêche)
2009 - 1er prix du salon national du thé (prix du ministre de l'agriculture, des forêts et de la pêche)
2011 Premier prix du salon national du thé (prix du ministre de l'agriculture, des forêts et de la pêche)
2012 Salon national du thé : 1er prix (ministre de l'agriculture, des forêts et de la pêche)
2013 1er prix du Salon national du thé (Prix du directeur du bureau de production du ministère de l'agriculture, des forêts et de la pêche)
2019 1er prix du salon national du thé (prix du ministre de l'agriculture, des forêts et de la pêche)
2020 1er prix du salon national du thé (prix du ministre de l'agriculture, des forêts et de la pêche)

LA RÉGION DE LA SAGA

Explorer les racines de l'histoire du thé japonais

UN THÉ VERT RARE

Un processus presque perdu


"Kamairi" en japonais signifie littéralement "cuisson à la poêle" ou "rôtissage à la poêle". Le processus est intense et manuel et, par conséquent, la production ne se fait qu'à petite échelle. Le Kamairicha est donc un thé rare et précieux.

L'arôme caractéristique du thé est fortement préservé dans le produit final, grâce aux techniques traditionnelles développées au fil des siècles. Les feuilles de thé fraîches sont immédiatement desséchées après la récolte pendant dix minutes à 300 degrés Celsius, selon un procédé japonais appelé "Iriha-ki", afin de minimiser et d'arrêter la fermentation.


Les feuilles desséchées sont roulées et séchées au cours d'un processus manuel intense en quatre étapes. Cette technique japonaise éprouvée permet d'obtenir un parfum panparche unique, au goût remarquablement complexe et riche. Son parfum est appelé "kamaka", un goût sucré et une sensation de fraîcheur qui peut parfois rappeler le parfum du thé au jasmin.

Le kamairicha est riche en antioxydants naturels, car il ne subit pas le traitement à la vapeur habituel des thés verts comme le sencha, le gyokuro ou le tamaryokucha.

LES THÉS D'AKIZUKI SAN & FRIENDS

Un thé vert sucré, un goût différent à savourer


Avec ses feuilles poêlées, notre kamairicha SHINO de qualité supérieure vous entraîne dans un merveilleux voyage gustatif, bien différent de l'expérience habituelle du thé vert. Les amateurs de thé oolong apprécieront les parallèles.

Dès l'ouverture du sachet, des notes de châtaigne et de fruits vous accueillent, et vous apprécierez le subtil parfum de charbon de bois qui vous rappellera son processus de fabrication unique.

Dans votre tasse, son or pur ravira vos yeux. Sa douceur soulignée par une très belle astringence reflète le savoir-faire d'Akizuki san et de ses partenaires.

1 produit

RÉCEMMENT CONSULTÉ